The Untamed

The Untamed Poster

Treize ans après sa mort, le redouté Fondateur de la Cultivation Démoniaque, Wei WuXian (Xiao Zhan), revient à la vie dans des circonstances mystérieuses. En compagnie de son « ami » de longue date, Lan WangJi (Wang YiBo), il part en quête des origines d’un fantôme des plus agressifs, une quête qui pourrait bien révéler la vérité derrière les événements qui avaient autrefois mené à sa mort.

À quoi bon suivre la foule sur la grande route ? Je préfère m’en tenir au pont de bois qui s’enfonce dans les ténèbres !

The Untamed

Il y a quelques mois, j’ai appris que mon bien-aimé Mo Dao Zu Shi allait être adapté en drama. La censure chinoise étant ce qu’elle est, vous vous doutez un peu de mon manque d’enthousiasme. De fait, quelques temps après, des rumeurs se sont mises à circuler selon lesquelles les scénaristes auraient eu la brillante idée de faire de Wen Qing (personnage que j’adore, au demeurant) la dulcinée de Wei WuXian. Ni une, ni deux, je me suis juré de ne jamais regarder cette horreur.

Pourtant, quand, un beau soir de juillet, Tencent a décidé de diffuser les deux premiers épisodes à l’improviste, voici que ma timeline twitter s’est retrouvée envahie de tweets vantant une relation des plus évidentes entre nos deux protagonistes. Toujours un peu sceptique, n’osant y croire, j’ai donc décidé de regarder la vidéo de premières impressions de Donghua Reviews (@cuchallain sur Twitter, pour ceux que cela intéresse), un youtubeur que j’aime beaucoup. Spoiler : il a fini par chanter “two bros sitting in the bathtub five feet apart”. 

L’affaire était conclue.

Deux heures plus tard, j’étais conquise, et priais tous les dieux disposés à m’écouter de bien vouloir faire que cela continue ainsi.

Trois questions : 

  • The Untamed en valait-il la peine ? Oui, oui, oui, mille fois oui.   
  • Était-il à la hauteur du roman et du donghua ? Tout à fait.
  • Était-il parfait ? Ma foi, non. Mais il n’en était pas loin, et s’est facilement hissé parmi mon top 5.

C’est parti.

Le jeu des acteurs

La première chose à dire, c’est que Xiao Zhan fait un parfait Wei WuXian. Plutôt que de l’interpréter, il l’incarne, et parvient ainsi à déployer toute l’étendue d’un personnage empli de malice, de dévotion, de cruauté, d’intelligence, de joie de vivre. Son corps sans cesse en mouvement, combiné à une impressionnante panoplie d’expressions, contribuent à donner à Wei WuXian toute la présence qui sied au personnage.

En revanche, j’avoue que j’étais un peu sceptique par rapport à Wang Yibo, dont les yeux de poisson crevé (pas taper !) m’ont beaucoup dérangée au cours des premiers épisodes. D’un autre côté, Lan WangJi est un personnage très difficile à jouer, car il est censé être impassible en permanence, et ouvre rarement la bouche.

Eh bien, vous savez quoi ? Il s’est avéré que Wang Yibo était parfait. Il s’est débrouillé pour véhiculer les sentiments de Lan WangJi au moyen de micro-expressions qui correspondaient pile poil au révéré Hanguang-Jun. Que ce soit un imperceptible sourire au coin des lèvres ou le simple adoucissement de son regard, il m’a vraiment impressionnée. J’ai également été frappée par sa posture, par ailleurs, toujours si droite et digne, si bien que je ne pouvais imaginer personne d’autre à sa place.  

Côté personnages secondaires, certains m’ont laissé un souvenir plus marquant que d’autres. Je pense par exemple à Zhu Zan Jin en Jin GuangYao. Il y avait quelque chose dans ses manières, son éternel sourire et ses grands yeux, qui résonnait avec la nature du personnage. Il y avait aussi Zheng Fan Xing (Lan Sizhui), dont le regard clair me faisait vraiment quelque chose. Et bien sûr, Xuan Lu, parfaite dans le rôle de la belle, la douce, la magnifique Jiang YanLi.  

Ai-je mentionné Wen Ning ? Yu Bin était fantastique dans ce rôle.

Cependant—et je vais sans doute me faire lyncher par plus d’un, j’ai trouvé Wang Zhuo Cheng très mauvais. Ses mimiques (ou devrais-je dire ses grimaces) font de Jiang Cheng une véritable caricature. Ses traits, quand ils ne se contorsionnaient pas, demeuraient figés en un froncement de sourcils permanent, et bien que je sois la première à admettre que Jiang Cheng n’est pas un homme très heureux de manière générale, c’était tout simplement trop. Il a fini par s’améliorer un peu (ou peut-être ai-je fini par m’y faire, qui sait), mais c’est surtout le conflit qui le tiraillait visiblement qui est parvenu à me réconcilier un peu avec cette interprétation ratée.

Enfin, je n’en parle jamais, mais les doubleurs ont fait un travail absolument formidable. Sans rien spoiler (n’hésitez pas à m’en parler sur Twitter si vous voulez savoir), j’ai été frappée par deux scènes en particulier. Lu Zhixing et Bian Jiang sont des acteurs étonnants, et si je n’ai pas trouvé le nom du doubleur de Lan Sizhui, j’ai adoré la douceur de sa voix.

L’histoire

Je peux le dire d’emblée, ils n’ont pas suivi le roman à la lettre.

Si Wei WuXian et Lan WangJi sont à peine en bons termes au début du roman, le premier épisode de The Untamed est sans équivoque par rapport à la profondeur de leur relation, ce qui permet, par la suite, de rendre explicite la nature de leurs sentiments sans pour autant s’aventurer en terrain glissant. L’équipe a ainsi fait en sorte d’utiliser tous les codes romantiques de Dramaland dès qu’ils partageaient une scène, et je dois dire que c’est un changement qui ne me déplaît pas.  

Ce que je n’ai pas aimé, en revanche, c’est qu’ils ont choisi de dépouiller Wei WuXian de toutes les inventions qui pourraient être considérées comme néfastes. Dans le roman, il massacre des milliers de personnes, invente la cultivation démoniaque ainsi que de nombreuses techniques et armes spirituelles telles que la Boussole du Mal. Ici, la cultivation démoniaque est une invention des méchants, qui l’utilisent bien avant lui (et de la même façon, en plus !).  

Je ne comprends tout simplement pas l’utilité de ce changement. Pourquoi un homme bon ne peut-il pas créer des choses mauvaises ? Comme l’établit le donghua dans la saison 2, « Une épée reste une épée. On peut l’utiliser pour protéger ou pour tuer. » En quoi la cultivation démoniaque est-elle différente ?

L’une des raisons pour lesquelles Mo Dao Zu Shi est une oeuvre extraordinaire, c’est que c’est une tragédie sur de nombreux plans, une tragédie née des choix et des actions d’êtres humains, et leurs pouvoirs n’y changent rien. C’est pourquoi il est assez déprimant de voir les scénaristes opter pour les stéréotypes habituels au lieu de rester fidèles au roman, plus nuancé.

Ainsi, à l’origine, Wen Ruohan vit dans un superbe palais, et l’uniforme de sa secte consiste en un hanfu blanc aux manches brodées d’un soleil écarlate. Mais voici que dans le drama, il établit ses quartiers sur une espèce de montagne volcanique sinistre, s’entoure de morts-vivants, ne se donne pas la peine de se coiffer et éclate constamment d’un rire maniaque.

Vive le cliché…

Nuances de gris

Si Wei WuXian est un excellent protagoniste, c’est parce que c’est quelqu’un de bien qui demeure capable, comme tout un chacun, du meilleur comme du pire. C’est un héros, mais il a ses défauts, et il reste affecté par l’amour, la joie, la douleur, le chagrin, la rage, l’incertitude, et ses décisions causent autant de bien que de mal.

Hélas, on dirait que ce genre de personnage n’est pas compatible avec les standards de moralité chinois. Un héros ne peut pas créer quelque chose de mauvais. Un homme bon ne peut pas s’égarer. Et voici donc qu’ils ont choisi de retirer tout ce qui faisait de Wei WuXian le fondateur de la cultivation démoniaque, pour l’attribuer aux « vrais méchants ».

The Untamed est une histoire censée se baser avant tout sur les nuances de gris qui caractérisent tout être humain. Des individus censés faire partie des « gentils » s’avèrent manipulateurs et dépourvus de toute compassion, tandis que des hommes aux mains souillées de sang peuvent vous inspirer de la compassion de par leur tragique passé. Des gens qui n’ont jamais levé la main sur autrui périssent avant l’heure, tandis que ceux qui tentent de faire ce qui est juste disparaissent dans l’infamie.  

C’est une belle leçon d’humanité.

Conte de familles choisies

En tant qu’orphelin, Wei WuXian sait mieux que quiconque à quel point une famille est précieuse. The Untamed sait montrer la profondeur des liens qu’il a tissés avec les Jiang, et en particulier Jiang YanLi.

Shijie (« sœur aînée, » en chinois), comme il l’appelle, le connaît mieux qu’il ne se connaît lui-même, fait office de médiatrice entre deux frères plus impétueux l’un que l’autre, et son sourire entendu en écoutant Wei WuXian parler de Lan WangJi ne manquera pas de vous faire tomber amoureux d’elle. C’est vers Jiang YanLi que Wei WuXian se tourne lorsqu’il est malheureux, comme si sa seule présence lui mettait du baume à l’âme. C’est une figure féminine d’une douceur immense.

(S’il est vrai qu’il existe peu de personnages féminins dans The Untamed, la série parvient à les rendre tous inoubliables d’une manière qui leur est propre. Yu ZiYuan, Wen Qing, Jiang YanLi et MianMian n’ont rien à voir l’une avec l’autre, mais chacune a une place et un caractère bien à elle.)

Enfin, pour ceux qui apprécient la dynamique de la famille choisie ou famille de cœur, soyez heureux ! The Untamed, qui prend place au cours de deux époques différentes, vous la décline en deux versions. Vous comprenez, maintenant, pourquoi je n’arrive pas à me remettre de ce drama ?

Faire pleurer les pierres

Dans une série où les personnages pratiquent la cultivation par la musique, il semblait évident que The Untamed doive porter un soin tout particulier à sa bande originale. Et il faut convenir qu’en général, elle est assez réussie.

Je dis « en général », car l’une des pistes était tout simplement abominable. J’ai cru que mes oreilles ne s’en remettraient jamais, et le pire, c’est qu’elle figurait sur l’une des scènes-clé de la série.   

Pour le reste, cependant, c’était parfait. Grâce à un savant mélange de guqin, de flûte, de piano et de cordes, le compositeur parvient à retranscrire des mélodies qui prêtent à The Untamed toute la dimension nostalgique et tragique de son histoire. Je me suis surprise à de nombreuses reprises à m’étouffer d’émotion en l’écoutant, ce qui ne m’était pas arrivé depuis Nirvana in Fire.

Et pour ceux d’entre vous qui ont lu le roman, vu le donghua ou écouté le drama audio, sachez que WangXian est tout simplement à tomber.

Un échec de production

Comment dire.

C’était mauvais.

Vraiment.

En fait, c’était le point noir au tableau d’une série autrement magnifique, et j’avoue que cela me met un peu en rogne. Les effets spéciaux étaient tout simplement abominables, au point que certains figurants se battaient dans le vide ici et là, les créatures étaient complètement irréalistes, et si quelqu’un pouvait m’expliquer pourquoi une série issue d’un roman aussi populaire n’a pas davantage de budget, je lui en serai très reconnaissante.

De plus, je trouve que la série échoue à recréer la magie visuelle dont Mo Dao Zu Shi s’empare avec tant de brio. Ainsi que le fait remarquer cuchallain, l’une des grandes forces du donghua tenait au foisonnement de couleurs vibrants : YunmengJiang et leur audacieux violet, QishanWen et leur soleil écarlate, la pivoine éclatante de LanlingJin, les verts reposants de QingheNie, et bien sûr, les pâles nuages sur fond blanc de GusuLan… Ces couleurs si définies, si vibrantes, attirent le regard autant que les personnages qui les portent avec fierté.

The Untamed, en revanche, opte pour des accents discrets, perdant au passage le contraste établi entre les sectes. Contraste de couleurs et de costumes, certes, mais contraste également entre des personnalités bien différentes. Ainsi, le violet des Jiang s’accorde parfaitement à leur esprit franc et extraverti. Le blanc des Lan témoigne de leur attitude calme et réservée. L’or solaire des Jin, de son côté, correspond parfaitement à leur caractère ostentatoire.

Voyez plutôt les captures ci-dessous. Avec trois personnages et deux clans, le donghua parvient à avoir plus de couleur que le drama avec une douzaine de personnages issus de trois sectes différentes…

Un dernier détail

Cela peut paraître tatillon, mais… cela fait maintenant un moment que je regarde des dramas chinois, et je me suis habituée aux cheveux immaculés des personnages. Qu’ils se battent, fassent des acrobaties ou s’énervent, leurs cheveux les suivent toujours avec une grâce dont on ne peut qu’être envieux. Et, exception faite de Ling Xi dans Love and Destiny, je ne crois pas avoir vu un seul personnage tripoter ses cheveux.

Le détail qui m’a particulièrement frappée dans The Untamed, c’est que les personnages se prennent leurs cheveux dans la figure quand ils se battent, et se retrouvent souvent avec des morceaux de feuille ou autre emmêlés dedans. Par ailleurs, combien de fois n’ai-je pas vu Wei WuXian lever la main pour remettre une mèche en place ou tout simplement la triturer ? Ces gestes, imparfaits et humains, m’ont frappée par leur naturel, car ce sont des choses que font les gens normaux, les gens comme nous, pas les personnages surpuissants à l’apparence systématiquement impeccable que nous voyons évoluer sur le petit écran.

Bref…

Des relations qui vous brisent le cœur, des personnages nuancés et de terribles tragédies sur fond de romance épique… The Untamed figure à présent au sommet de la liste des mes dramas favoris, où trônent déjà Nirvana in Fire et Guardian. Si vous ne l’avez pas déjà vu, foncez !


Vous voulez en savoir plus ? Jetez un œil sur l’article que j’ai écrit pour Soompi : 8 Reasons To Watch C-Drama “The Untamed,” A Study In How To Rip Your Heart To Shreds And Mend It Again.


Titre : The Untamed

Nationalité : Chinoise

Avec : Xiao Zhan, Wang Yibo, Wang Zhuo Cheng, Zoey Meng, Xuan Lu, Yu Bin, Zhu Zan Jin

Date de diffusion : 27/06/2019 au 14/08/2019

Nombre d’épisodes : 50

Genres : Wuxia, Mystère, Horreur, Fantasy, Cultivation, Romance, Aventure, Arts martiaux, LGBTQ+

Où le voir : Youtube, Viki

Où le lire : Exiled Rebels

Le verdict : ★★★★★

11 Comments

  1. Le passage sur les cheveux m’a fait sourire^^
    Je lorgne ce drama depuis que tout twitter ne parle que de ça, et il va sans dire que ton article est tout aussi encourageant 🙂 Surtout que « pour ceux qui apprécient la dynamique de la famille choisie ou famille de cœur, » moi ! moi ! moi ! *lève le bras*
    Un peu triste de ce que tu dis de la prod, mais bon…
    Bref, le drama reste fermement sur ma TBW list, même si je ne sais pas pour quand ce sera, vu que je ne sais jamais, et marche quasi uniquement à l’impulsion sur le moment^^

    • Je suis pareille ! Ça dépend complètement de mon humeur 😀 Je suis contente de t’avoir confortée dans ton envie de le voir, en tout cas, parce qu’il en vaut vraiment la peine ! Quant à la famille choisie, oh, oui. The Untamed a tout ce qu’il faut !

  2. Je viens de finir le drama, et il y a un détail qui me chiffonne. Lan Xichen a expliqué à Wei Wuxian l’histoire des cicatrices sur le dos de Lan Wangji. Cependant il avait aussi une brûlure semblable à celle que Wei Wuxian avait avant sa « renaissance » dans le corps de Mo Xuanyu . Celle qu’il à eu lorsqu’il sauva MianMian dans la grotte de la tortue géante. Et ce détail n’a pas été expliqué ou alors que je n’ai pas fait attention.
    Aurais-tu une idée ?

    • Coucou ! Alors si mes souvenirs sont bons, notre cher Hanguang-Jun a un jour enfreint les règles de GusuLan et bu beaucoup, beaucoup d’alcool (l’idée, c’était de comprendre ce que WWX pouvait bien trouver au Sourire de l’Empereur, sauf qu’on connaît sa tolérance à l’alcool…). C’était après la mort de Wei WuXian, et, fou de douleur et ivre mort de surcroît, il a attrapé le fer à marquer des Wen (ne me demande pas comment il est arrivé là, je n’en ai aucune idée) et l’a pressé contre sa poitrine pour avoir la même cicatrice que son défunt cher et tendre. Ce n’est effectivement pas expliqué dans le drama (et je ne suis même pas sûre qu’on la voie, cette cicatrice ?), mais ils l’expliquent dans le roman.

      Merci d’être passée et à bientôt !

  3. Du coup, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller lire ton article après ton passage sur le mien. ^^On ne l’a pas tourné de la même manière, je suis plus restée sur la psychologie du drama mais on est du même avis. Comme toi, j’ai eu un peu de mal avec Jiang Chang au début mais dès qu’il commence à tomber amoureux de Wen Qing, j’ai fondu avec lui. De même quand il cherche à tout prix à protéger son neveu dans la deuxième partie et la douleur qu’il ressent quand il apprend la vérité sur le sacrifice de Wei Ying. Mon cœur s’est brisé en mille morceau !
    C’est marrant que tu montre la statue dansante pour illustrer les mauvaises animations. J’aurais plutôt mis le gros chien dans la prison Wen moi. C’est surtout lui qui m’avait marqué. ^^

    J’avoue que comme j’ai lu le web-roman après, je suis moins revenue sur les différences car dans l’ensemble, à part la romance qui disparait, j’ai trouvé l’adaptation très fidèle. C’est bizarre, je ne me rappelle pas des différence sur la magie démoniaque… Va falloir que je le relise. ^^

  4. Vous êtes sacrément culotté de critiquer le jeu d’un acteur alors qu’ils étaient tous excellents! votre point de vue vient simplement du fait que sa tête ne vous revenez pas! comment peut-on se permettre de critiquer un jeu d’acteur qu’en en plus vous n’êtes même pas capable de regarder la série en VOSTFR pour connaitre leur VRAIES voix! pfff facile de critiquer montes sur une scène et joue et on verra les mimiques de ton visage!! avant de critiquer on respecte les créations et les personnalités des gens. Le seul point intéressant et non élucidé de la série vous ne l’avez même pas capté hahahaha! vous êtes passé à côté.

    • Alors je suis absolument désolée de faire exploser ta bulle, mais les trois quarts des dramas chinois sont doublés en chinois pour des raisons de production. Tu peux vérifier n’importe où sur internet. Il n’y a pas de doublage en français à ma connaissance, et je regarde tous mes dramas en VO avec des sous-titres en anglais. Aucun des acteurs n’a utilisé sa vraie voix. Il faudrait peut-être se renseigner avant de venir faire la leçon aux gens qui en savent plus que toi.
      Ensuite, j’ai tout à fait le droit de critiquer poliment la performance d’un acteur, c’est à ça que servent les critiques (et la liberté d’expression, accessoirement), et personne ne t’oblige à la lire ni à être d’accord. Ce site est avant tout pour mes opinions personnelles, et s’il ne te plaît pas, je ne te retiens pas.
      Allez, une bonne journée à toi, si tant est que tu ne t’étouffes pas sur ton vitriol, hein ! (Et bonne chance dans ta croisade contre tous les gens qui n’ont pas peur d’aimer leurs dramas tout en reconnaissant leurs défauts ! Tu dois être bien occupée.)

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