Merci, mais non merci #1

You Are My Hero

You Are My Hero a fait un tabac quand il est sorti, et j’étais intriguée car j’aime bien les dramas militaires, et il y a une dynamique intéressante entre un médecin et un soldat. J’ai aussi longtemps cru que c’était un remake chinois de Descendants of the Sun et je voulais voir s’ils allaient faire mieux que l’original. Sauf qu’en fait, ce n’était pas le cas, et l’épisode 1 ne m’a vraiment pas convaincue, j’ai donc décidé de passer à autre chose.

J’ai vu : 1 épisode.

Beyond Evil

Un jour, je finirai un autre drama de Yeo Jin-Goo, tout comme un jour, je finirai un drama de Luo Yunxi. Mais ce jour n’est pas arrivé : si le concept de Beyond Evil est intéressant, il est aussi trop sordide pour moi. (Peut-être cela fait-il trop longtemps que je n’ai pas vu de policier pur et dur, aussi, mais le fait est que j’ai trop de mal avec les cadavres démembrés et l’atmosphère ultra-glauque.)

J’ai vu : 1 épisode.

Ni Chang

Celui-ci n’avait vraiment rien pour lui. Entre l’héroïne immature, ses chignons asymétriques (je déteste les coiffures asymétriques, elles me déconcentrent. Demandez à Sword Dynasty.), le doublage pas synchrone, le frère qui est visiblement une sœur et non pas un mais deux triangles amoureux… Trop, c’est trop.

J’ai vu : 1 épisode.

Sisyphus: The Myth

J’adore Park Shin-Hye. Elle jouait l’héroïne dans mes deux tout premiers dramas coréens (You’re Beautiful et Heartstrings, pour ceux qui se poseraient la question), et elle aura toujours une place spéciale dans mon cœur. Mais bien que le concept soit intéressant, je n’ai tout simplement pas accroché à Sisyphus, et je n’ai juste pas envie de me forcer.

J’ai vu : 2 épisodes.

Vincenzo

Ceux d’entre vous qui ont lu mes premières impressions savent que j’étais pour le moins sceptique par rapport à ce drama.

Si l’idée de base semblait prometteuse, l’exécution et le scénario ne se sont pas montrés à la hauteur, avec des épisodes dont, sur 75 minutes, seules 20 en valent la peine, et gaspillant une réalisatrice de talent sur de la comédie grasse. Franchement, cela m’a fait mal de voir ce gâchis.

J’ai vu : 6 épisodes.

Love Scenery

J’en faisais état dans mes premières impressions, mais le premier quart d’heure était prometteur, mettant en scène une héroïne calme, distinguée, et pleine de repartie. Hélas, le reste est un véritable désert sans le moindre intérêt ni substance. C’est tellement creux que j’ai sauté des épisodes entiers sans éprouver la moindre difficulté de compréhension. Le protagoniste me rappelle un peu trop le personnage incarné par Yang Yang dans Love O2O, mais son caractère possessif m’agace. Ajoutons à cela des scènes « romantiques » en jeu qui influent sur les personnages dans la vie réelle, un rival amoureux qui pourrait être le père de l’héroïne, un nombre hallucinant de rencontres manquées, des clichés et une caméra qui s’attarde sur les jambes de Xu Lu, et je tire ma révérence.

J’ai vu : 18 épisodes (en avance rapide et en zappant des épisodes).

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