Embarquement pour… Love Scenery

Ça parle de…

Liang Chen, une star de la chanson, qui doit apprendre à évoluer dans le jeu vidéo Beautiful Soul quand on lui propose d’en devenir l’égérie. Sous le couvert de l’anonymat, elle a recours à l’enseignement de Lu Jing, célèbre streamer qui est aussi en réalité l’un de ses fans de la première heure.

J’aime…

Liang Chen ! Dès les vingt premières minutes, elle s’impose comme une jeune femme exceptionnelle, réservée, la tête froide, et qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Je croise les doigts pour qu’elle reste ainsi une fois amoureuse… sans vraiment me faire d’illusions, je dois l’avouer.

Je n’aime pas…

Ce n’est pas vraiment que je ne l’aime pas, mais Lu Jing me rappelle un peu trop le personnage de Yang Yang dans Love O2O : il sait tout faire, toutes les filles sont amoureuses de lui, et il est assez distant. La seule chose qui le rend un peu humain ? Les scènes où il essaie de frimer devant Liang Chen et se vautre lamentablement. (C’est généralement devant ces tentatives malheureuses que je rigole le plus.)

Les scènes de jeu vidéo. Les combats sont vraiment trop longs, surtout qu’ils donnent la part belle à Lu Jing pendant que Liang Chen ne fait strictement rien. En plus, ils ne cessent de glisser des scènes romantiques dedans, qui sont par la suite traitées comme si elles avaient eu lieu dans la vraie vie et avaient donc de l’influence sur les sentiments des personnages. Ce qui n’a strictement aucun sens.

Le nombre hallucinant de fois où ils se manquent de peu ou se croisent sans se voir. Il doit y en avoir en moyenne deux par épisode, si bien que cela en devient ridicule en plus d’être frustrant (et inutile).

On continue ?

Oui, mais en avance rapide la plupart du temps.

Où regarder Love Scenery ?

Sur iQIYI et Youtube.

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