Ça parle de…
Un général, Tao Junran, qui enquête sur la batelière Li Fan, qu’il soupçonne d’être liée à un groupe de survivants d’un pays ennemi.
J’aime
Le héros, incarné par Luo Zheng. J’avais un peu peur qu’il soit le protagoniste habituel, c’est-à-dire dominateur et toxique, mais en fait pas du tout. Il est strict, certes, mais il reste généralement droit, juste et impartial (en tout cas avec l’héroïne et dans ses attributions professionnelles).
Bon, et puis j’admets que j’aime beaucoup sa beauté atypique. Il a des traits vraiment uniques, et si ses vêtements ne sont pas de très bonne qualité, les costumiers ont en tout cas bien compris un truc quand ils ont décidé de le mettre en noir, parce que ça lui réussit très bien. (Quelles pommettes, ma foi, quelles pommettes !)
Les éléments de fantastique, même si j’ai l’impression d’avoir un peu déjà compris tous les grands secrets des uns et des autres, mais bon.
Je n’aime pas…
L’héroïne, ce qui me déçoit beaucoup, car j’adore l’actrice Huang Riying. J’ai l’impression qu’elle s’attache à montrer un nouveau défaut à chaque épisode qui passe. Fausse, vénale, hypocrite, égoïste,… ce n’est pas non plus insupportable, mais bien suffisant pour qu’on ne puisse pas s’y attacher. Et pour se dire que le pauvre Tao Junran mérite mieux, aussi.
En plus, en même pas deux épisodes et demi, l’héroïne avait déjà dû être sauvée trois fois. Dix minutes plus tard, notre beau magistrat intervenait encore une fois. Est-ce vraiment trop demander que d’avoir une héroïne compétente ? (Sauvez-moi, je n’en peux plus.)
On continue ?
Je m’accroche, je m’accroche. Pour les pommettes et la droiture. Je m’accroche.
Où regarder Cry Me a River of Stars ?
Sur iQIYI.
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