Ça parle de…
Tian Yao, un esprit-dragon qui a été trahi par sa fiancée. Afin de reconquérir son pouvoir d’antan, il se met en quête des parties de son corps scellées aux quatre coins du monde, et fait la connaissance de Yan Hui, une jeune cultivatrice exclue de sa secte.
J’aime…
L’univers est assez intéressant, et Zhou Ye est super en cultivatrice droite dans ses bottes et sans préjugés. Elle fait un bon duo avec Hou Ming Hao, que je retrouve avec plaisir après The Lost Tomb 2.
J’aime aussi beaucoup le générique de début, « Free Floating », chanté par Zhou Shen, et la musique de manière générale.
Je n’aime pas…
Je ne suis pas fan du tout des « arguments » qu’avance Yanhui pour ne pas aider Tian Yao dans sa quête. Une personne normalement constituée montrerait un peu plus d’empathie par rapport à son histoire et l’aiderait de la façon la plus naturelle du monde, d’autant plus que Yanhui n’a absolument rien à faire d’autre, et qu’elle n’est visiblement pas aussi coincée dans une rhétorique anti-esprits que le reste des taoistes. Cela me fait un peur pour la suite.
Et toute la dimension hyper raciste des taoistes qui persécutent les esprits sans raison valable (qui nous ait été expliquée, en tout cas) me met extrêmement mal à l’aise, j’espère vraiment que c’est quelque chose qui sera rectifié une fois que Tian Yao aura retrouvé sa puissance d’autrefois.
On continue ?
Oui !
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