Embarquement pour… Qing Luo

Ça parle de…

Qing Luo, une célèbre doctoresse qui a perdu la mémoire. Elle fait la rencontre de Ye Xiu Du, un prince qui ressemble comme deux gouttes d’eau au père disparu de son fils de sept ans.

J’aime…

Les dialogues piquants de Ye Xiu Du et Qing Luo, ainsi que, la plupart du temps, leurs dynamiques avec Qing Nan, le fils de cette dernière.

Liu Xue Yi et Wang Zi Wei font un super boulot au niveau des mimiques. Ils ont une manière de se sourire tout en se fusillant du regard qui est assez drôle.

Je suis aussi très curieuse de connaître les tenants et les aboutissants de l’histoire de Qing Luo et du passé que je lui devine avec Ye Xiu Du. Pour être honnête, c’est ma principale motivation pour regarder ce drama, pour l’instant.

Je n’aime pas…

L’attitude du protagoniste qui, par moments, fait très mâle alpha sur les bords. J’espère vraiment que ça ne va pas devenir une habitude, car cela met à mal l’équilibre du pouvoir entre Qing Luo et lui. Si leurs dialogues sont amusants, j’ai l’impression qu’elle perd tous leurs affrontements physiques et verbaux, c’est agaçant.

Le triangle amoureux en puissance. Il n’est pas clairement établi, mais j’ai la nette impression que le drama va dans cette direction, et ça me fatigue d’avance. Ce cliché a fait son temps, si on pouvait passer à autre chose, ce serait chouette.

Le comportement du fils de Qing Luo n’est pas cohérent. Les trois-quarts du temps, son attitude n’est pas du tout celle d’un enfant de sept ans, avec des mimiques très adultes. Et puis, soudain, il redevient un gamin, c’est très bizarre. En plus, il est d’une insolence exaspérante, j’ai envie de le mettre au coin.

Le manque abyssal d’imagination, de créativité, de diversité, d’envie, que sais-je ! concernant les noms de famille des personnages. J’ai vu quatre épisodes, et je crois que plus des deux tiers des personnages nommés (présents ou non) s’appellent soit Yu, soit Ye. Non seulement cela prête à confusion, mais cela fait aussi franchement paresseux.

La piste sonore honteusement plagiée de la bande originale de Healer (cela semble être à la mode, en ce moment : j’ai remarqué la même chose dans Ugly Beauty, qui a tranquillement récupéré une musique de My Love From The Star (« Beethoven Revolution« ) et changé le ton en s’imaginant que personne ne s’en rendrait compte. Sauf que eux, au moins, ils ne l’ont utilisée qu’une seule fois, alors que Qing Luo en use et en abuse).

On continue ?

Pour l’instant.

Où regarder Qing Luo ?

Sur Viki et Youtube. Si vous en avez la patience, je vous recommande le premier, car même si les sous-titres prennent des lustres, au moins il ne manque pas d’énormes morceaux d’audio comme c’est le cas sur Youtube.

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